L'invention de l'inconnu

Image : Suzy Hazelwood
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Par MATHEUS C. MARTINS*

Le néolibéralisme est incapable de répondre à la crise de notre époque historique. Vous n’arrivez plus à convaincre les gens que vous pouvez tenir vos promesses

« La crise réside précisément dans le fait que l’ancien est en train de mourir et que le nouveau ne peut pas encore naître. Dans cet interrègne, une grande variété de symptômes morbides apparaissent. (Antonio Gramsci, Carnets de prison).

« Pour répondre à une telle amorce, il faut dire que, s'il n'y a pas de politique sans le désir de s'affranchir de nous-mêmes, de s'affranchir de nos limites, sans le désir d'explorer ce qui n'a pas encore de figure, il est certain que que l'histoire est le champ dans lequel ce désir apprend à mieux s'orienter. Que cet apprentissage ne se fasse pas en ligne droite, qu'il soit erroné et souvent perdu, ce n'est qu'une manière d'insister sur les conséquences inhérentes à tout apprentissage. En découvrant la force de notre liberté et notre inventivité, ce ne serait pas différent. (Vladimir Safatle, La gauche qui n'a pas peur de dire son nom).

Raison politique néolibérale[I] est incapable de répondre aux crises de notre époque historique. Qu’il s’agisse d’une manière de se gérer soi-même (façonner des sujets qui agissent selon la logique capitaliste) ou d’autrui (favoriser un modèle d’interaction sociale basé sur la logique marchande), le néolibéralisme soutient l’exaltation des valeurs – personnelles, monétaires, etc. – et qualifie de déviation toute volonté humaine qui n’est pas totalement conforme aux rationalités susmentionnées. Le néolibéralisme a généré, génère et continuera à générer des crises jusqu’à ce qu’il soit confronté et surmonté par une autre alternative.

Croissance exponentielle de l’exploitation de la main d’œuvre combinée à la flexibilisation progressive du marché du travail qui pousse d’importants contingents humains dans une situation d’extrême précarité ; éloge de l'idée d'une domination technico-exploratoire absolue sur la nature, de la part de l'être humain, qui justifie la destruction effrénée de l'environnement comme conséquence nécessaire du progrès (l'usage générique du terme est intentionnel) ; la production et la gestion généralisées de la souffrance psychologique en accord avec l'individualisation de ces symptômes et, par conséquent, sans les considérer comme dérivés d'un système qui les établit ; la liste des contradictions pourrait s'allonger encore et encore à l'infini.

Ce qu’il est important de retenir de ce bref exposé est décrit par Dardot et Laval comme suit : « Le néolibéralisme est un système de normes aujourd’hui profondément inscrit dans les pratiques gouvernementales, les politiques institutionnelles et les styles de gestion. Par ailleurs, il faut préciser que ce système est d’autant plus « résilient » qu’il dépasse largement la sphère marchande et financière dans laquelle règne le capital. Elle étend la logique marchande bien au-delà des strictes frontières du marché, notamment en produisant une subjectivité « responsable » en créant une concurrence systématique entre les individus.[Ii]

En d’autres termes, cela signifie que, constituée comme un système de normes, il est impossible de considérer la raison néolibérale comme un opérateur au niveau individuel – cela ne signifie pas pour autant que ses effets ne peuvent pas être ressentis singulièrement par les sujets. , mais seulement qu'ils doivent être compris et, par conséquent, affrontés dans la sphère collective.

Ce fait se confirme « facilement », et nous atteignons ici un point fondamental, simplement en examinant les relations qui s’établissent autour de nous. Après tout, qui ne connaît pas une personne qui éprouve des difficultés à régler ses factures mensuelles, voire qui subit une exploitation intense au travail ; ou combien ne sont pas les phénomènes météorologiques extrêmes que nous voyons tout le temps dans l’actualité ; Combien de nos collègues ne sont pas confrontés à de profondes souffrances, symptomatiques des exigences de l’emploi, de l’université, etc. ? Ou mieux (ou pire), combien d’entre nous, au lieu d’être de simples spectateurs, sont souvent, au sein de l’énoncé, le sujet qui souffre ?

Cela signifie que, malgré ce que veulent nous faire croire ses enthousiastes, il est possible d'affirmer que l'effort personnel n'est pas une force suffisante, même s'il est fondamental, pour surmonter ces contradictions : je doute fort que celui qui lit ce texte ait l'ambition de ne pas avoir assez d'argent pour manger, vivre dans un monde où une crise climatique et environnementale menace la continuité de la vie (humaine) sur Terre telle que nous la connaissons et/ou vivre dans une situation de souffrance psychologique.

Ainsi, revenant au point que nous avons évoqué plus haut comme fondamental, nous savons, « en regardant autour de nous » quels sont les principaux symptômes morbides, pour reprendre l'expression de Gramsci, de notre temps historique (1) ; aussi, nous pouvons voir quelles sont ses causes centrales (2) ; et, que ce soit à l'université, dans les partis politiques ou au sein des mouvements sociaux, nous passons un temps considérable en contact avec divers auteurs qui nous fournissent les outils théoriques pour aborder de telles situations et, in fine, y faire face (3). La question évidente qui découle de ces résultats est la suivante : pourquoi ne faisons-nous rien ? Voyez-vous, il ne s'agit pas d'affirmer qu'il n'y a pas d'initiatives importantes en cours visant à construire une nouvelle réalité, il s'agit simplement de constater qu'il est inévitable de ne pas se frustrer lorsqu'on analyse leur expressivité et leur pertinence pour mener à bien ce mouvement de transformation.

Essayer de répondre à la question précédente dans un texte aussi court serait aussi risible qu’improductif. Il est même discutable de croire au fait (réconfortant) qu’il puisse y avoir une réponse unique à la question. Cependant, à l’instar de certains auteurs de théorie critique, en général, et des approches marxistes en particulier, je crois qu’une des premières étapes consiste à se dénaturaliser pour aller de l’avant. En d’autres termes, comme le résume Fisher : « Si le réalisme capitaliste est si fluide et si les formes actuelles de résistance sont si désespérées et impuissantes, d’où pourrait venir une contestation efficace ? Une critique morale du capitalisme, mettant l’accent sur la manière dont il génère misère et douleur, ne fait que renforcer le réalisme capitaliste. La pauvreté, la faim et la guerre peuvent être présentées comme des aspects inévitables de la réalité, tandis que l’espoir d’éliminer un jour ces formes de souffrance peut facilement être représenté comme un simple utopisme naïf (…) les politiques émancipatrices doivent toujours détruire l’apparence d’un « ordre naturel » : elle doit révéler que ce qui nous est présenté comme nécessaire et inévitable n’est en fait qu’un simple hasard, et elle doit faire en sorte que ce qui semblait auparavant impossible soit désormais considéré comme réalisable (…) Ce dont nous avons besoin, c’est que ces effets soient liés à une cause structurelle. . Contre la suspicion postmoderne à l’égard des « grands récits », nous devons réaffirmer que, loin d’être des problèmes isolés et contingents, ceux-ci sont tous les effets d’une seule cause systémique : le capital.[Iii]

Parfois, nous perdons de vue à quel point cet ordre naturel est intériorisé. Nous étudions des concepts de grande abstraction (comme le capitalisme, les schémas de souffrance psychologique, les médias, etc.) comme des structures monolithiques et homogènes – avec la même morphologie sur de longues périodes. On perd de vue, par exemple, que le capitalisme ou la souffrance de notre époque n'est pas la même que celle de nos parents, encore moins celle de nos grands-parents. Le constat est loin de nier complètement la validité des thèses de Freud ou de Marx, pour se concentrer uniquement sur des auteurs superficiels, mais plutôt qu'il est impératif de laisser une place aux thèses qui cherchent à revitaliser et/ou améliorer de telles théories.

C’est en ce sens que, pour les études contemporaines dans le champ de la psychanalyse, il est impossible de dissocier les formes de souffrance de la forme sociale actuelle. Le « symptôme social » d’une époque se manifesterait précisément comme une conséquence des manières d’organiser la vie et, qui plus est, ne serait perçu que comme une déviation par une société où il dénonce lui-même les contradictions des manières d’y vivre. . À titre d’exemple, nous avons l’hystérie de la société victorienne, qui expose les relations de genre produites par le patriarcat de l’époque. Par ailleurs, le pari de Maria Rita Kehl, psychanalyste brésilienne, est que les dépressions seraient le symptôme social du néolibéralisme.[Iv]

Nous faisons ce petit point pour pouvoir penser, dès lors, que les principales formes de souffrance dans le capitalisme et le néolibéralisme sont précisément symptomatiques d’une époque. De plus, l’émergence même de ces positions déviantes au fil du temps défait et confronte – à sa manière – les significations qui soutiennent ces mêmes systèmes. Ainsi, Capitalisme (comme Latour, l’utilisation de l’orthographe avec une majuscule sert à identifier son sens plus « institutionnel »[V]) et la raison néolibérale ne sont que quelques exemples parmi plusieurs autres manières possibles de faire face à ces « normes intériorisées », qui finissent par structurer nos manières de vivre et de souffrir et de créer un « ordre naturel » également de notre propre être.

Em L'origine du capitalisme, Ellen Meiksins Wood, nous enseigne que – cette affirmation peut vous choquer – le capitalisme n’a pas toujours existé dans l’histoire de l’humanité. Pour l’auteur donc, loin de voir l’histoire des relations entre producteurs et accaparateurs comme une ligne droite qui conduirait naturellement au capitalisme, l’« origine » du capitalisme est plus proche de l’examen du degré de dépendance des producteurs et des accaparateurs. . , par rapport à un type de marché spécifique et historiquement localisé. Distinct, car il impose de nouvelles conditions aux êtres humains et à l'environnement ; Certains d’entre eux sont : la concurrence, l’accumulation et la maximisation du profit.

Ainsi, E. Wood souligne que développer une description qui tienne compte de l’analyse des « relations sociales historiquement spécifiques, constituées par l’action humaine » qui constituent le capitalisme ou, en d’autres termes, son histoire, est non seulement nécessaire, mais fondamental pour démontrer que ces relations sont « sujettes à changement »,[Vi] permettant d’avancer vers son dépassement.

À son tour, le néolibéralisme (tel que défini précédemment) doit passer par un processus de « dénaturalisation ». En ce sens, il convient de souligner que, comme l’ont démontré les différents auteurs qui se sont penchés sur le sujet, il existe un consensus autour de la thèse selon laquelle ce n’est que depuis les années 1970 et l’après-guerre – c’est-à-dire environ cinquante ans – cela en réponse à des phénomènes spécifiques de la période où les thèses néolibérales ont commencé à être mises en pratique.

Il convient de noter que, par cette observation, je ne cherche pas à affirmer, car ce serait une erreur, que ce n'est qu'à partir de cette période qu'une telle doctrine « existe » ; En effet, en plus de ne pouvoir ignorer le long chemin qui mène (mais sans s'y limiter) à la création de la société du Mont Pèlerin, l'observation de l'application pratique de cette nouvelle raison du monde ne peut laisser de côté le gestation progressive de sa théorie (comme idée ou fruit d'un activisme intellectuel).

Cependant, comme on peut parfois perdre de vue, le constat sert, une fois de plus, à affirmer que le monde n’a pas toujours été ainsi. Par « le monde », nous entendons bien sûr la façon dont nous travaillons, interagissons avec nous-mêmes et les uns avec les autres, consommons, souffrons et – pourquoi pas ? - nous aimons ça.

Dans le contexte brésilien, par exemple, on pourrait affirmer que les bases qui donnent du concret à la doctrine néolibérale – il n’est pas exagéré de le rappeler –, dans le cadre de nos spécificités géographiques et historiques, n’ont commencé à prendre forme qu’au début de les années 1990.[Vii] – c’est-à-dire il y a un peu plus de 30 ans. Il est essentiel de le rappeler, en dénonçant cette impuissance réflexive qui nous envahit : contester cette nouvelle rationalité est possible, plus que cela, c'est nécessaire en tant que mission historique.

Peut-être qu'à ce stade, la psychanalyse peut contribuer une fois de plus au débat : l'horizon d'une nouvelle société et l'ambition de construire de nouvelles façons de s'y rapporter impliquent nécessairement de radicaliser notre désir, pour qu'il s'oriente vers autre chose que ce qui est. donné. Effet du langage lui-même, la dialectique de notre désir n’est pas individuelle, elle est inévitablement collective par constitution, donc penser la subjectivité, c’est nécessairement penser la subjectivité d’une époque.

De la même manière, penser à la dénaturalisation des modes de souffrance, de ressenti et de relation profondément enracinés que nous présente le néolibéralisme, c’est aussi penser à la destitution de celle-ci elle-même et, plus encore, de la grammaire qui la soutient. Le changement que nous plaçons ici est donc une inauguration : l'invention de l'inconnu.

Toutefois, pour accomplir cette tâche, nous ne pouvons pas compter uniquement sur la force des idées. Comme le soulignait Lévi-Strauss, la diffusion du mode de vie occidental : « Elle résulte moins d’une décision libre que d’une absence de choix. La civilisation occidentale a implanté ses soldats, ses comptoirs commerciaux, ses plantations et ses missionnaires à travers le monde : elle est intervenue, directement ou indirectement, dans la vie des populations de couleur, elle a révolutionné de fond en comble leur mode d'existence traditionnel, qu'il s'agisse d'imposer le sien , ou établir des conditions qui engendreraient l’effondrement des cadres existants sans les remplacer par autre chose ».[Viii]

La déclaration contenue dans cet extrait, compte tenu du fait qu’elle a été publiée en 1952, bien qu’elle ne traite pas des développements analysés ici, peut facilement être étendue à eux.

Ainsi, en plus des idées dénaturalisantes – comme nous le défendons tout au long du texte – nous comprenons qu’il est également nécessaire de chercher des moyens de dénaturaliser nos pratiques. Parce qu’il reste souvent dans le champ des idées, même s’il affecte notre façon d’agir dans le monde, le « naturel » a besoin de trouver un équivalent (ndlr : pas un substitut) dans le concret. Nous soutenons que le « réel » (réalisme, pragmatisme, etc.) serait, en termes pratiques, ce correspondant. Après tout, où pouvons-nous agir sinon dans la réalité ? Au sens commun, outre le réalisme ou le pragmatisme, sur quelle autre caractéristique devons-nous prendre en compte pour fonder nos actions ? Il faut donc impérativement déréaliser (?) le réel !

Un cas exemplaire de cette identification complète entre le naturel et le réel peut facilement être sauvé si l’on évoque le contexte politique actuel du Brésil. Depuis la victoire de Lula aux élections de 2022, le scénario d'immobilité politique de la gauche radicale est clair – sans parler de la soumission complète des partis qui se prétendent encore « de gauche » et constituent la base du gouvernement du PT. De nombreuses justifications sont avancées pour ce scénario, mais je crois que les deux plus courantes sont : le danger du retour au pouvoir de l’extrême droite et, la plus tristement célèbre des plaintes, le rapport de forces négatif (dans les institutions, dans la société, etc.).

Si la première partie de l’analyse n’est pas très précise dans laquelle le « pouvoir » est entendu comme une entité homogène et indivisible – représentée uniquement par celui qui occupe le fauteuil exécutif –, l’autre bouleverse la logique même de ce qu’on entend par corrélation des forces le considérant comme une donnée naturelle et donc immuable. Malgré leurs différences, ils partagent la même origine déjà évoquée dans ce texte : l’impuissance réflexive.

Nous concluons le texte avec un extrait d'un article d'Heribaldo Maia intitulé « La mort honteuse de la gauche brésilienne » et avec lequel, par hasard, nous sommes entrés en contact en écrivant ce texte. Selon nous, l’extrait résume parfaitement l’idée que nous avons voulu aborder ici (sans évidemment vouloir épuiser le sujet) et nous invite à la réflexion : « La plupart des voix qui se disent « réalistes » répètent aujourd’hui les dogmes d’une réalité qui n'existe même plus. Depuis la crise de 2008, il n’existe aucune perspective sûre à l’horizon mondial d’un nouveau cycle de croissance économique qui produirait des emplois et réduirait les inégalités. Les tendances pointent, au contraire, vers un capitalisme à faible productivité, un retour à l’extraction des revenus et une augmentation du chômage structurel. De plus, l’évidence incontournable de la crise environnementale remet en question toute promesse de progrès infini et les calculs à court terme des entreprises et des pays. Si un nombre croissant de citoyens s'ouvrent à des positions autrefois considérées comme « extrêmes », tant à droite qu'à gauche, c'est d'abord parce que le « centre » n'arrive plus à les convaincre qu'il peut tenir ses promesses. . . C’est pourquoi le juste milieu entre le néolibéralisme conservateur et le néolibéralisme progressiste perd son aura de point d’équilibre naturel (…) Sans affronter notre propre mort, nous ne pourrons pas renaître libres des chaînes de la peur. Face à cela, nous en ressortirons avec suffisamment de force pour dire haut et fort : oui, il existe des alternatives ![Ix]

Matheus C.Martins Il se spécialise en sciences sociales à l'UFSC.

Références


DARDOT, Pierre ; LAVAL, Chrétien. La nouvelle raison du monde : essai sur la société néolibérale. São Paulo : Boitempo, 2016.

FISHER, Marc. Réalisme capitaliste : est-il plus facile d’imaginer la fin du monde que la fin du capitalisme ?. São Paulo : autonomie littéraire, 2020.

FRANCO, Fabio et al. Le sujet et l'ordre marchand : genèse théorique du néolibéralisme. Dans : SAFATLE, Vladimir (org.). Le néolibéralisme comme gestion de la souffrance psychique. Belo Horizonte : Authentique, 2020.

KEHL, Maria Rita. Le temps et le chien : l'état actuel de la dépression. São Paulo : Boitempo, 2009.

LATOUR, Bruno. Où atterrir ? : comment s’orienter politiquement à l’Anthropocène. Rio de Janeiro : Bazar do Tempo, 2020.

LÉVI-STRAUSS, Claude. Race et histoire. Lisbonne, Présence éditoriale, 2008.

MAÏA, Heribaldo. La mort honteuse de la gauche brésilienne. 2023. Disponible sur : https://revistaopera.com.br/2023/06/20/a-vergonhosa-morte-da-esquerda-brasileira/

SAFATLE, Vladimir. La gauche qui n'a pas peur de dire son nom. Sao Paulo : Trois étoiles, 2012.

BOIS, Ellen Meiksins. L'origine du capitalisme. Rio de Janeiro : Jorge Zahar Éd., 2001.

notes


[I] Nous pensons ici avant tout à la description faite dans DARDOT ; LAVAL (2016), mais d’autres auteurs traitant du sujet sont également mentionnés tout au long du texte.

[Ii] DARDOT; LAVAL, 2016, p. 30.

[Iii] PÊCHEUR, 2020, p. 33-4 et p. 129.

[Iv] KEHL, 2009.

[V] Voir note de bas de page n° 32 dans LATOUR, 2020.

[Vi] BOIS, 2001, p. 35.

[Vii] FRANCO et al. 2020.

[Viii] LÉVI-STRAUSS, 2008, p. 13.

[Ix] MAÏA, 2023.


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