
Machado de Assis et environs
Par LOUIS AUGUSTO FISCHER: Préface à la nouvelle édition – revue et augmentée –, récemment parue, du livre d'Homero Vizeu Araújo
Par LOUIS AUGUSTO FISCHER: Préface à la nouvelle édition – revue et augmentée –, récemment parue, du livre d'Homero Vizeu Araújo
Par CELSO FRÉDÉRIC:Le Premier Congrès des écrivains soviétiques résonna comme un paradoxe : un chant de liberté artistique à l’ombre du réalisme socialiste. Boukharine, avec sa défense de la pluralité, et Gorki, avec son romantisme révolutionnaire, symbolisèrent la tension entre
Par AFRANIO CATANI: Commentaire sur le livre de Jean-Philippe Toussaint
Par SALEM NASSERIsraël se qualifie de « lion », mais il agit comme le vent : puissant dans la destruction, éphémère dans la permanence. La Palestine, quant à elle, est le sol indéracinable, et l'Iran, le rocher indestructible.
Par CELSO FRÉDÉRIC:Sous Staline, la littérature soviétique subit une métamorphose, où la création artistique est orientée au service de la construction du socialisme, ce qui donne lieu à une production littéraire marquée par la monotonie et la propagande politique.
Par FLAVIO AGUIAR:Il ne restait que les livres oubliés des bibliothèques andines, les mots murmurés contre le vent de l'histoire et la lueur dans les yeux d'un mort que la dictature n'avait pas éteinte. Oscar Ferreira s'envola enfin — pas comme le moineau.
Par MOTA URARIEN:La prochaine fois que vous rencontrerez un poète, rappelez-vous : il n'est pas un monument, mais un feu. Ses flammes n'illuminent pas les salles, elles s'éteignent dans l'air, ne laissant qu'une odeur de soufre et de miel. Et quand il
Par JOSÉ CASTILHO MARQUES NETO:Dans un monde à la dérive, où les élites misent sur la déshumanisation, la lecture persiste comme un acte révolutionnaire : chaque livre ouvert à La Carcova ou dans les prisons brésiliennes est une brique arrachée au mur de la barbarie. Le paysage
Par SERGIO COHNÀ une époque où les hégémonies sont remises en question, l'art du Sud ne demande pas de permission : il écrit son propre scénario. L'Association des arts des BRICS est plus qu'une plateforme : c'est un manifeste de réinvention, où l'amitié devient le fondement.
Par DANIEL AFONSO DA SILVADiplomate, professeur, historien, interprète et bâtisseur du Brésil, polymathe, homme de lettres, écrivain. On ne sait pas qui vient en premier. Rubens, Ricupero ou Rubens Ricupero.
Par FLAVIO R. KOTHE:Ni propagande, ni concept, ni dévotion : l'art pur est un saut dans le vide qui ne s'accomplit que lorsque quelqu'un ose s'y jeter.
Par EDGARD PEREIRA:Au-delà de l'évaluation, la critique littéraire est une plongée profonde dans l'essence de l'œuvre, guidée par l'éthique et la vocation. Une invitation à la compréhension qui transcende le nationalisme, sauve les voix oubliées et oxygène le canon, révélant
Par SILVIA BEATRIZ ADOUELe terrorisme ne réside pas dans la Résistance ancestrale mapuche, mais dans les clôtures de fer érigées sur les terres volées. Liberté pour Facundo : que l'anti-poésie incendiaire brûle les barreaux de la barbarie.
Par VINICIUS DE OLIVEIRA PRUSCH:Considérations sur l'essai d'Antonio Candido
Par GENRE TARSE:Si la chevalerie moderne est faite de drones et d'algorithmes, et si les romans de chevalerie ont été remplacés par des récits de haine viraux, la seule tranchée possible est celle de l'éducation qui démasque la barbarie. Il n'y a pas de don
Par FERNANDO RIOS:À propos du corps et de ses complexités (à l'intérieur et à l'extérieur)
Par RAQUEL NAVEIRA: Réverbérations dans la littérature et les arts visuels brésiliens
Par RICARDO IANNACE & OSCAR NESTAREZ:L'analyse de la nouvelle « O lodo », de Murilo Rubião, reprend l'histoire d'un paranoïaque (« Le cas Schreber »), étudiée par Sigmund Freud, ainsi que la production cinématographique d'Helvécio Ratton et la peinture de
Par LOUIS AUGUSTO FISCHER: Préface à la nouvelle édition – revue et augmentée –, récemment parue, du livre d'Homero Vizeu Araújo
Par CELSO FRÉDÉRIC:Le Premier Congrès des écrivains soviétiques résonna comme un paradoxe : un chant de liberté artistique à l’ombre du réalisme socialiste. Boukharine, avec sa défense de la pluralité, et Gorki, avec son romantisme révolutionnaire, symbolisèrent la tension entre
Par AFRANIO CATANI: Commentaire sur le livre de Jean-Philippe Toussaint
Par SALEM NASSERIsraël se qualifie de « lion », mais il agit comme le vent : puissant dans la destruction, éphémère dans la permanence. La Palestine, quant à elle, est le sol indéracinable, et l'Iran, le rocher indestructible.
Par CELSO FRÉDÉRIC:Sous Staline, la littérature soviétique subit une métamorphose, où la création artistique est orientée au service de la construction du socialisme, ce qui donne lieu à une production littéraire marquée par la monotonie et la propagande politique.
Par FLAVIO AGUIAR:Il ne restait que les livres oubliés des bibliothèques andines, les mots murmurés contre le vent de l'histoire et la lueur dans les yeux d'un mort que la dictature n'avait pas éteinte. Oscar Ferreira s'envola enfin — pas comme le moineau.
Par MOTA URARIEN:La prochaine fois que vous rencontrerez un poète, rappelez-vous : il n'est pas un monument, mais un feu. Ses flammes n'illuminent pas les salles, elles s'éteignent dans l'air, ne laissant qu'une odeur de soufre et de miel. Et quand il
Par JOSÉ CASTILHO MARQUES NETO:Dans un monde à la dérive, où les élites misent sur la déshumanisation, la lecture persiste comme un acte révolutionnaire : chaque livre ouvert à La Carcova ou dans les prisons brésiliennes est une brique arrachée au mur de la barbarie. Le paysage
Par SERGIO COHNÀ une époque où les hégémonies sont remises en question, l'art du Sud ne demande pas de permission : il écrit son propre scénario. L'Association des arts des BRICS est plus qu'une plateforme : c'est un manifeste de réinvention, où l'amitié devient le fondement.
Par DANIEL AFONSO DA SILVADiplomate, professeur, historien, interprète et bâtisseur du Brésil, polymathe, homme de lettres, écrivain. On ne sait pas qui vient en premier. Rubens, Ricupero ou Rubens Ricupero.
Par FLAVIO R. KOTHE:Ni propagande, ni concept, ni dévotion : l'art pur est un saut dans le vide qui ne s'accomplit que lorsque quelqu'un ose s'y jeter.
Par EDGARD PEREIRA:Au-delà de l'évaluation, la critique littéraire est une plongée profonde dans l'essence de l'œuvre, guidée par l'éthique et la vocation. Une invitation à la compréhension qui transcende le nationalisme, sauve les voix oubliées et oxygène le canon, révélant
Par SILVIA BEATRIZ ADOUELe terrorisme ne réside pas dans la Résistance ancestrale mapuche, mais dans les clôtures de fer érigées sur les terres volées. Liberté pour Facundo : que l'anti-poésie incendiaire brûle les barreaux de la barbarie.
Par VINICIUS DE OLIVEIRA PRUSCH:Considérations sur l'essai d'Antonio Candido
Par GENRE TARSE:Si la chevalerie moderne est faite de drones et d'algorithmes, et si les romans de chevalerie ont été remplacés par des récits de haine viraux, la seule tranchée possible est celle de l'éducation qui démasque la barbarie. Il n'y a pas de don
Par FERNANDO RIOS:À propos du corps et de ses complexités (à l'intérieur et à l'extérieur)
Par RAQUEL NAVEIRA: Réverbérations dans la littérature et les arts visuels brésiliens
Par RICARDO IANNACE & OSCAR NESTAREZ:L'analyse de la nouvelle « O lodo », de Murilo Rubião, reprend l'histoire d'un paranoïaque (« Le cas Schreber »), étudiée par Sigmund Freud, ainsi que la production cinématographique d'Helvécio Ratton et la peinture de