
L'âge de l'erreur
Par LUCIANO NASCIMENTO: Il y a une moralité presque superficielle qui imprègne l'idée selon laquelle, en général, dans la vie de tous les jours, il est beaucoup plus facile de faire des erreurs que de bien faire les choses.
Par LUCIANO NASCIMENTO: Il y a une moralité presque superficielle qui imprègne l'idée selon laquelle, en général, dans la vie de tous les jours, il est beaucoup plus facile de faire des erreurs que de bien faire les choses.
Par LUCIANO NASCIMENTO: L'une des séquelles les plus perverses de l'esclavage - du racisme, par métonymie - est la matité affective qui nous fait si souvent taire
Par LUCIANO NASCIMENTO: Le racisme brésilien est tel, tellement pervers et déguisé, qu'on risque de voir le fond se substituer à la figure
Par LUCIANO NASCIMENTO :
Le sentiment constant d'un risque imminent nous oblige à rester vigilants, à l'affût de tout signe de menace contre nous.
Par LUCIANO NASCIMENTO :
Le pouvoir du peuple est détourné au profit du capital
Par LUCIANO NASCIMENTO :
Commentaire sur le documentaire avec Emicida comme protagoniste
Par LUCIANO NASCIMENTO : L'éducation est la source nécessaire de toute possibilité de nous libérer de la barbarie qui nous entoure
Par LUCIANO NASCIMENTO : Aussi absurde et compliqué que cela puisse paraître, il est nécessaire de trouver des moyens concrets pour démontrer et convaincre, une fois pour toutes, le plus grand nombre possible de personnes sur la forme sphérique de la planète.
Par LUCIANO NASCIMENTO :
L'investissement prévu dans les pratiques éducatives communicationnelles interculturelles est construit du point de vue qui comprend le savoir et le pouvoir à la suite de multiples constructions discursives
Par LUCIANO NASCIMENTO :
La meilleure chance d'atteindre, au Brésil, une forme plausible de civilité, stricto sensu, réside dans l'investissement réel dans des pratiques éducatives communicationnelles qui sont, par principe et méthode, transculturelles et empathiques.
Par LUCIANO NASCIMENTO : Nous vivons dans un pays raciste, sexiste, homophobe et élitiste : peu d'entre nous sortent indemnes de toutes ces épreuves, ce qui nous rend bien plus semblables à nos étudiants.
Par LUCIANO NASCIMENTO : La crise politique au Brésil est le résultat de siècles d'échecs – ou peut-être de succès – des différents projets éducatifs nationaux. Ces échecs frappent durement, tôt ou tard, les anonymes et les célèbres,
Par Luciano Nascimento : Il est essentiel de regarder les choses telles qu'elles sont : pour une partie importante de la population, le président dit la vérité
Par LUCIANO NASCIMENTO: Il y a une moralité presque superficielle qui imprègne l'idée selon laquelle, en général, dans la vie de tous les jours, il est beaucoup plus facile de faire des erreurs que de bien faire les choses.
Par LUCIANO NASCIMENTO: L'une des séquelles les plus perverses de l'esclavage - du racisme, par métonymie - est la matité affective qui nous fait si souvent taire
Par LUCIANO NASCIMENTO: Le racisme brésilien est tel, tellement pervers et déguisé, qu'on risque de voir le fond se substituer à la figure
Par LUCIANO NASCIMENTO :
Le sentiment constant d'un risque imminent nous oblige à rester vigilants, à l'affût de tout signe de menace contre nous.
Par LUCIANO NASCIMENTO :
Le pouvoir du peuple est détourné au profit du capital
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Commentaire sur le documentaire avec Emicida comme protagoniste
Par LUCIANO NASCIMENTO : L'éducation est la source nécessaire de toute possibilité de nous libérer de la barbarie qui nous entoure
Par LUCIANO NASCIMENTO : Aussi absurde et compliqué que cela puisse paraître, il est nécessaire de trouver des moyens concrets pour démontrer et convaincre, une fois pour toutes, le plus grand nombre possible de personnes sur la forme sphérique de la planète.
Par LUCIANO NASCIMENTO :
L'investissement prévu dans les pratiques éducatives communicationnelles interculturelles est construit du point de vue qui comprend le savoir et le pouvoir à la suite de multiples constructions discursives
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La meilleure chance d'atteindre, au Brésil, une forme plausible de civilité, stricto sensu, réside dans l'investissement réel dans des pratiques éducatives communicationnelles qui sont, par principe et méthode, transculturelles et empathiques.
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