Par RAÚL ZIBECHI:Pour arrêter la violence, il n’y a qu’une seule exigence : mettre fin à ce système capitaliste prédateur et génocidaire qui considère les adelitas, les panchos et les emilianos (les pauvres d’en bas) comme ses ennemis.
Par RAÚL ZIBECHI :
L'expérience d'un Etat plurinational a montré qu'il s'agit plus du même, juste d'un rafistolage d'institutions sans légitimité
Par RAÚL ZIBECHI :
Le nouveau monde après le capitalisme n'est pas un lieu d'arrivée, ce n'est pas un paradis où l'on pratique le « bien vivre », mais un espace de lutte
Par RAÚL ZIBECHI :
Les gouvernements sortis des urnes n'ont jamais réussi à ébranler le pouvoir du capital
Par RAÚL ZIBECHI : Avec Biden, il y aura davantage de révolutions de couleur en Amérique latine
Par RAUL ZIBECHI :
Se focaliser sur la reprise ou l'occupation de l'Etat est la voie de l'échec car cela légitime l'ordre que l'on entend combattre.
Par RAÚL ZIBECHI:Pour arrêter la violence, il n’y a qu’une seule exigence : mettre fin à ce système capitaliste prédateur et génocidaire qui considère les adelitas, les panchos et les emilianos (les pauvres d’en bas) comme ses ennemis.
Par RAÚL ZIBECHI :
L'expérience d'un Etat plurinational a montré qu'il s'agit plus du même, juste d'un rafistolage d'institutions sans légitimité
Par RAÚL ZIBECHI :
Le nouveau monde après le capitalisme n'est pas un lieu d'arrivée, ce n'est pas un paradis où l'on pratique le « bien vivre », mais un espace de lutte
Par RAÚL ZIBECHI :
Les gouvernements sortis des urnes n'ont jamais réussi à ébranler le pouvoir du capital
Par RAÚL ZIBECHI : Avec Biden, il y aura davantage de révolutions de couleur en Amérique latine
Par RAUL ZIBECHI :
Se focaliser sur la reprise ou l'occupation de l'Etat est la voie de l'échec car cela légitime l'ordre que l'on entend combattre.